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Championnats de France 2023

Panoramique sur le multidisciplines

Wingsuit et PA : la plus jeune et la plus ancienne des disciplines aux championnats de France.

Du 11 au 16 septembre dernier, environ 200 compétiteurs des disciplines artistiques, de la wingsuit, du vol relatif, de la PA/voltige et du handifly indoor avaient rendez-vous à Gap-Tallard pour les épreuves de leurs championnats de France respectifs
Quelques jours auparavant, les disciplines du pilotage sous voile, du voile contact et du handifly s'étaient retrouvées de la même façon, à Orléans.

 


Note de la rédaction : Le dimanche 15 octobre au matin, soit 24 heures après la publication de cet article, un crash avion à l'issue tragique frappait un des partenaires et acteurs des championnats de France à Tallard. La rédaction de ParaMag présente ses plus sincères condoléances à la famille et aux proches de Benoît, ainsi qu’à ses collègues et à ses amis.


 

Cela ne s’était plus produit depuis 2019 : au moins cinq disciplines présentes sur un même site pour les championnats de France. Après une presque décennie à Vichy, de 2010 à 2019, les restrictions liées à la crise sanitaire, débutée en 2020, avaient mis fin à cette série durant laquelle championnats de France rimait avec Vichy et mois d’août. Le circuit coupe de France s’est arrêté aussi en 2020, et pour les mêmes raisons.

De 2020 à 2022, les championnats de France étaient organisés séparément par disciplines, sur des centres différents et à des dates différentes.

En 2020, la situation post-covid et les restrictions sanitaires ont donc modifié le paysage des compétitions nationales en France. Contrainte cette année-là de séparer les disciplines pour les championnats de France, la FFP a ensuite fait le choix de continuer dans cette voie jusqu’en 2022.

En cette année 2023, il a été décidé de regrouper à nouveau les disciplines, dans la mesure du possible, avec le retour de la formule "multi". Et c’est le site de Gap-Tallard, dans les Hautes-Alpes, qui a été choisi pour organiser en commun ces championnats multidisciplines.

À Gap-Tallard, mais pas seulement, puisque les disciplines du voile contact et du handifly ont rejoint celle du pilotage sous voile à Orléans. Pour ces trois disciplines, les championnats de France se sont déroulés du 31 août au 3 septembre, donc en mode multidisciplines également. Mais pourquoi Orléans et pourquoi spécifiquement ces disciplines ?

Cédric Veiga Rios, vainqueur du combiné en pilotage sous voile, à Orléans. Photo Krystel Philippot

Le pilotage sous voile nécessitant obligatoirement un "swoop pond" (en français "bassin de pilotage sous voile"), cela restreint le choix du site. C'est ainsi que, cette année encore dans cette discipline, les championnats de France étaient organisés à Orléans.

Le site de Gap-Tallard est situé à un plus de 700 mètres au-dessus du niveau de la mer, et cela rend les atterrissages en tandem de la voltige handifly un peu plus compliqués. Il a donc été décidé que les épreuves en mode "saut d’avion" de cette discipline se dérouleraient aussi à Orléans.

Même décision également pour le voile contact, et pour des raisons d'occupation de l'espace aérien. L'aérodrome de Gap-Tallard étant très actif, l'occupation de l'espace aérien par les parachutistes, durant les six jours que dure la compétition, est une grosse contrainte pour les autres utilisateurs. D'autant que la wingsuit, présente à Gap-Tallard, élargit encore davantage le volume de travail réservé pour les épreuves des championnats de France.

Dans ces conditions, il était plus simple et plus raisonnable de ne pas en rajouter avec le voile contact, une discipline voile ouverte dont le temps de travail allonge d'autant plus les temps d'occupation de l'espace aérien. Et c'est ainsi que le voile contact s'est déroulé lui aussi à Orléans.

Quant au championnat de France de précision d'atterrissage en ascensionnel, c'est à Loudun (Vienne) qu'il s'est déroulé, du 18 au 20 août.

Voici donc ce qu'il en est d'une vision "panoramique" sur l'ensemble des épreuves des championnats de France 2023. Pour une vision plus détaillée, par discipline, les nombreuses publications fédérales sur le site Internet et la page Facebook de la FFP, ainsi que sur le groupe Facebook "La fédé et vous" sont riches et suivent un déroulement au jour le jour.

Et pour une vision globale des podiums dans chaque discipline, nous vous donnons rendez-vous dans les galeries photo en bas de cette page.

RETOUR À GAP-TALLARD

L'aérodrome de Gap-Tallard est considéré comme étant un haut lieu du parachutisme en France, et cela pour plusieurs raisons.

Des raisons historiques d'abord, en matière de compétitions nationales et internationales, citons trois exemples significatifs d'organisations à Gap-Tallard :

- les championnats de France de vol relatif, PA/voltige, voile contact et disciplines artistiques en septembre 2001 (voir ParaMag n°172),

- les championnats du monde de vol relatif en septembre 1995 (voir ParaMag n°101),

- le grand Mondial en septembre 2003, durant lequel la France avait gagné 5 médailles d'or, 5 médailles d'argent et 6 médailles de bronze ! ParaMag avait publié un numéro spécial pour l'occasion. (voir ParaMag n°197)

Des raisons pratiques ensuite, car l'aérodrome de Gap-Tallard rassemble plusieurs entités importantes dans le paysage du parachutisme français :

- le Pôle France, structure de haut niveau et organisme de formation, qui accueille, avec son association support "France Parachutisme", les équipes de France, les formations fédérales et les bureaux de certains cadres FFP et entraîneurs nationaux,

- les ateliers Icarius Aerotechnics, spécialisés dans la maintenance aéronautique des avions largueurs,

- deux centres-écoles de parachutisme permanents, le CERPS (disposant de deux Pilatus) et Skydive Center (disposant d'un Cessna Caravan), plus deux autres centres d'activité (disposant chacun d'un Pilatus), Tarade Aéro Services et Revofly,

- la soufflerie On'air.

Arrivée de Benjamin Lachambre, membre de l’équipe Péronne – Somme – Hauts-de-France, sur la cible de PA. En arrière-plan, une partie des infrastructures utilisés pour l’événement : tentes, hangar Skydive Center et la soufflerie On’air. Photo Bruno Passe

Des raisons météorologiques, aussi et surtout, la région de Gap-Tallard bénéficiant de longues périodes d'ensoleillement qui font de la zone de sauts, toutes entités confondues, une des plus importantes en ce qui concerne le volume d’activité, avec un total dépassant régulièrement les 60.000 sauts annuels.

Le cadre étant posé, revenons sur la façon dont les championnats de France étaient structurés et programmés sur ce magnifique site.

Côté infrastructure, la FFP, organisatrice de l’événement, s’est basée dans les locaux du Pôle France pour ce qui concernait l’accueil, le jugement, le médical et une partie de la direction de la compétition.

Le hangar de Skydive Center a accueilli les compétiteurs des disciplines artistiques, dont les épreuves se déroulaient du 11 au 13 septembre, puis ceux du vol relatif, dont les épreuves se déroulaient du 13 au 15 septembre.

Le hangar du CERPS a accueilli les compétiteurs de wingsuit, dont les épreuves se déroulaient du 11 au 13 septembre, puis ceux de la précision d’atterrissage, dont les épreuves se déroulaient du 14 au 16 septembre.

Arrivée d’Adeline Delecroix, membre de l’équipe Police Nationale Péronne, sur la cible de PA. En arrière-plan, le hangar du CERPS, qui accueilli de nombreux compétiteurs. Photo Bruno Passe

Les épreuves de voltige étaient initialement prévues sur l’aérodrome d’Aspres-sur-Buech, distant de 20 km à "vol d’oiseau" de l’aérodrome de Tallard (environ 40 km par la route). Elles se sont finalement déroulées sur Tallard et les douze compétiteurs engagés dans cette discipline se sont basés au CERPS.

Un groupe de tentes était installé sur l’aérodrome, il y accueillait la direction des vols, un espace de restauration et de détente, et deux exposants : Airtec et Aérobiodiversité.

Sur le stand Airtec-Cypres, Nadine Bordas et Joel Strickland sont présents. Airtec est un important sponsors des équipes de France. Photo Bruno Passe

Sur le stand Aérobiodiversité, Hélène Abraham (directrice générale) et Isabelle Dreyssé (trésorière) étaient en place pour présenter les travaux de l’association. Photo Bruno Passe

En ce qui concerne les moyens aériens, les compétiteurs ont utilisé un Cessna Caravan (vol relatif et disciplines artistiques) et deux Pilatus (wingsuit, voltige et précision d’atterrissage).

Des championnats programmés en mode multidisciplines, certes, mais en mode séquencé également : comme il est décrit, ci-dessus toutes les épreuves ne se sont pas déroulées sur la même période et certaines disciplines se sont croisées. Cette option avait pour but de préserver une fluidité dans le déroulement des épreuves, et aussi d’entretenir les relations avec les autres occupants de l’aérodrome et les riverains.

Ce mode séquencé a donné lieu à trois cérémonies des podiums, une pour les disciplines artistiques et la wingsuit, le mercredi 13 septembre au soir, une autre pour le vol relatif, le vendredi 15 septembre et une dernière le samedi 16 septembre pour la précision d’atterrissage, la voltige et le handifly indoor.

Yves-Marie Guillaud, président de la Fédération française de parachutisme, entame la cérémonie des podiums pour les disciplines artistiques et la wingsuit. À gauche de la photo, une partie du collège des juges. En arrière-plan, au centre, Patrice Girardin, cadre technique fédéral. À droite, Jean-Michel Arnaud, sénateur des Hautes-Alpes, et Daniel Borel, maire de Tallard. Photo Bruno Passe

Cérémonie des podiums, pour le vol relatif, au Château de Tallard. Photo Bruno Passe

Il est impossible de citer ici toutes les personnes et toutes les entités engagées dans l’organisation de cet événement national. Soulignons tout de même :

- la prise en charge de ces championnats de France 2023 par Patrice Girardin (cadre technique fédéral) et Thierry Courtin (membre du Comité directeur de la FFP), en précisant que tous deux cumulent d’autres fonctions dans la vie fédérale,

- la collaboration entre les trois entités locales : CERPS, Skydive Center et Revofly, via leurs staffs respectifs, sous la responsabilité du directeur de la compétition, Franck Cotigny (cadre technique fédéral),

- l’engagement du Conseil Départemental des Hautes-Alpes et de la Mairie de Tallard, aux côtés de la fédération.

Photos ci-dessus : "Avant - après"… La PA est aussi une discipline d’observation ! L’équipe 3RAMT se classe troisième de ces championnats de France. Photos Bruno Passe

TOUTE DERNIÈRE MANCHE

Il est dommage que la météo réputée ensoleillée dans la région n’ait pas tenu sa promesse jusqu’au dernier jour. Bien que le soleil ait brillé durant une majeure partie de la semaine, c’est sous un ciel gris et pluvieux que s’est déroulée la dernière journée de samedi. La dernière discipline de ces championnats de France à être encore en lice était alors la précision d’atterrissage.

Le matin, la pluie avait interrompu la huitième manche tandis qu’il ne manquait qu’un dernier largage du Pilatus pour la boucler.

Pendant que les compétiteurs de PA restaient maintenus en stand-by sur place, et le staff à l'affut de la moindre éclaircie, une compétition internationale de vol en soufflerie battait son plein dans la soufflerie On’Air. Il s'agissait du Challenge handifly de la ville de Tallard, organisé par la FFP en parallèle des championnats de France, et qui accueillait douze compétiteurs.

Le Challenge handifly de la ville de Tallard s’est déroulé dans la soufflerie On’Air. Photo Bruno Passe

En milieu d’après-midi, le staff technique des championnats de France a fait preuve d’efficacité et a tout tenté pour que le dernier largage de PA se fasse, afin de pouvoir boucler la huitième manche.

Et ça a marché ! Les derniers compétiteurs de la manche 8 ont finalement pu sauter. Et c’est sous la pluie, mais dans la bonne humeur, que s’est achevée cette toute dernière manche des championnats de France.

C’est dans un ciel gris que s’est conclue, in extremis, la huitième et dernière manche de PA. Photo Bruno Passe

CONCLUSION

Organiser des championnats de France multidisciplines est un pari osé. À Vichy, il avait fallu plusieurs éditions pour que l’organisation soit bien rodée sans jamais pouvoir satisfaire complétement toutes les disciplines.

Pour autant, durant les quatre dernières années, le déficit final de l’événement était situé dans une fourchette allant de 93.129 euros (en 2017) à 140.319 euros (en 2019). Cette perte s’explique, entre autres, par les frais de mise en place des avions à Vichy (notamment le coût de convoyage) et des infrastructures mobiles, et par les frais générés pour l’appel au public (par exemple, le coût de la sono et des écrans géants était de l’ordre de 50.000 euros).

À Tallard, le déficit des championnats de France 2023 ne devrait pas dépasser 27.000 euros, car les avions sont déjà sur place, les infrastructures sont existantes et il n’a pas été fait d’appel au public. Dans le cas contraire, les autorités auraient classé les championnats de France en manifestation aérienne, comme à Vichy, et le brevet C aurait été obligatoire pour tous les compétiteurs.

Un sondage réalisé sur les compétiteurs des disciplines artistiques et du VR-4 N2 engagés à Tallard montre que 15 d’entre eux n’ont pas le brevet C. Ils n’auraient donc pas pu participer. Ne pas faire d’appel au public a évité aussi de multiples complications réglementaires pour les organisateurs.

Un des rôles de la fédération est effectivement d’organiser les championnats de France. Elle peut choisir de déléguer cette tâche, par disciplines, et de la confier, en partie et sous sa direction, à des centres-écoles. Comme expliqué en début d’article, c’est l’option qui fut prise les années précédentes, avec plus ou moins de succès.

Rappelons ici la définition de "fédérer" : "rassembler, regrouper autour d’un projet commun, exemple "fédérer des énergies" ou encore "grouper des états, des entités".

C’est ce qui a été fait à Tallard pour ces championnats de France 2023, en amenant des entités locales ayant des activités similaires (donc parfois concurrentes) à coopérer ensemble, en rassemblement les équipes de France (pour lesquelles ces championnats ne sont qu’une parenthèse dans une saison déjà bien remplie), et en attirant les collectivités locales vers notre activité (parfois décriée sur d’autres sites, dans d’autres régions). Pari osé, mais pari tenu !

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Galeries photo et podiums

(Cliquer sur une des photos pour l'agrandir et afficher la galerie en mode diaporama)

GALERIE PRÉCISION D'ATTERRISSAGE

Plus d'images sur les épreuves de précision d'atterrissage à Gap-Tallard. Photos Bruno Passe

 

PODIUMS ORLÉANS

Palmarès des championnats de France et quelques photos des vainqueurs pour les disciplines de la voltige handifly, du pilotage sous voile et du voile contact. Photo FFP, Krystel Philippot, 189-Photography

VOLTIGE HANDIFLY TANDEM
1 - Max
Maxime Granier
2 - Les fous
Jordan Hennequin et Gregory Labbe (remplaçant)
3 - Flyingirl et Maverick Pays de la Loire
Claire Duverger et Charles Sacquepey (remplaçant)

COMBINÉ PILOTAGE SOUS VOILE N1
1 - Cedric Veiga Rios
2 - Aurelien Lemaire
3 - Gerard Burnside

COMBINÉ PILOTAGE SOUS VOILE N2
1 - Stephane Poulain
2 - Corentin Dumay
3 - Morgan Fayet

VOILE CONTACT À 2
1 - Moselle
Dmytro Nikolayev, Andrei Sidigaev, Patrick Seurin (remplaçant) et Jerome Schlick (videoman)
2 - Besançon du Calvados
Guillaume Dubois, Helene Carre et Laurent-Stephane Montfort (videoman)
2 - Try again Saumur Besançon
Elliot Tollemer, Sophie Thoueille et Renaud Hemon (videoman)

VOILE CONTACT À 4
1 - Phénix
Sebastien Caillon, Robin Gomard, Doan le Ngoc, Louis Marcellin, Etienne Boudaille (remplaçant) et Stephane Meder (videoman)
2 - Noopies et les Minimoys
Guillaume Dubois, Karen Bongiovanni, Helene Carre, Alexandra Petitjean et Matthieu Roux (videoman)
3 - Comté Besançon Maubeuge Germany
Nicolas Bardin, Tom Brand, Benoit Deduffeleer, Rodolphe Pourcelot et Joel Teixeira (videoman)

PODIUMS TALLARD 1

Palmarès des championnats de France et photos des vainqueurs pour les disciplines artistiques et la wingsuit. La cérémonie de clôture s'est déroulée le mercredi 13 septembre au centre Polyaero. Photo Bruno Passe, Sébastien Chambet

FREEFLY
1 - Medjay Freefly
Pierre Wolnik, Mateo Limnaios et Noe Pottier
2 - Smashed Patatas Pamiers
Jules Humbert, Romain Blois, Stephan Garin et Cyrill Padieu (remplaçant)
3 - One Way, Noyon, Oise
Mamadou Sarr, Matys Valadon, Jean Marie Gares (remplaçant) et Tristan Lezeau (videoman)

FREESTYLE N1
1 - Cyrill et Luca PCAN
Lucas Colin et Cyrill Padieu (videoman)
2 - Mat & Jue Noyon
Mateo Limnaios et Julie Serra (videowoman)
3 - Flying Martians Pamiers
Marie Bochard et Valentin Prudhomme (videoman)

FREESTYLE N2
1 - Solstice Noyon Oise
Maxence Bocciarelli et Jules Gaire
2 - Buldozair
Kristyna Labutova et Lola Tran Van
3 - Liberté CompiègnOise
Lou Bange et Karen Bongiovanni (videowoman)

WINGSUIT ACROBATIQUE
1 - Team Cacolac Pamiers
Boris Paturet, Nicolas Minvielle et Aurelien Sadorge (videoman)
2 - Skyvibration
Stephan Feret, Ambroise Serrano et Stephane Zunino (videoman)
3 - The Poetic Wingsuit of Corbas
Pauline Ravaudet, Clement Della-Torre et Cedric Noel (videoman)

WINGSUIT PERFORMANCE N1
1 - Max Diebold
2 - Flavien Mazzon
3 - Adrien Bernard Devillette

WINGSUIT PERFORMANCE N2
1 - Alban Begnis
2 - Lucas Schlosser
3 - Benoit Kerbiguet

PODIUMS TALLARD 2

Palmarès des championnats de France et photos des vainqueurs pour les disciplines du vol relatif. La cérémonie de clôture s'est déroulée le vendredi 15 septembre au château de Tallard. Photos Bruno Passe

VOL RELATIF à 4 N1
1 - Aérodyne Cypres Lille
Damien Gouriou, Alban Rumolo, Mathieu Quizy, Tom Mattoni, David Ricard (videoman)
2 - Aérodyne Cypres Maubeuge
Elise Poindron, Pamela Lissajoux, Marie Pineau, Alexandra Petitjean, Godeleine de Saint Just (videowomen)
3 - Espoir Lille Haut-de-France
Cameron Malie, Oscar Massier, Thomas Misztal, Axel Martinez, Mathieu Bernier (videoman)

VOL RELATIF à 4 N2
1 - Saumur Happy Hour
Lea Oger, Benoit Husson, Martin Lee, Aurore Chevalier, Matthieu Roux (videoman)
2 - Vive la chute
Eric Le Magoariec, Remi Verschaeve, Valentin Tonizzo, Eric Mary, Emmanuel Fauvel (videoman)
3 - UNOR Anjou
Sebastien Carrez, Dominique Lefranc, Jeremie Fabre, Killian Brehin, Godeleine de Saint Just (videowomen)

CHALLENGE INTERNATIONAL DE VOL RELATIF à 8
1 – Qatar Falcons
Abdulla Al Hammadi, Saad Al Ali, Ghanim Al Kubaisi, Saleh Al Mohannadi, Salem Al Senaid, Belal Mohsin Alebbi, Abdulla Salem, Mohammed Mahmoud Shams et Khalifa Al Ali (videoman)
2 – After8 Bondues
Christine Malnis, Cyrille Aguinet, Mathias Barbaste, Guillaume Dubois, Laura Duveau, Alexandra Petitjean, Jessica Thebault, Nicolas Vons et Michel Laynaud (videoman)
3 – QRFO
Jean-Pierre Roussanides, Pedro Fernaud, Martial Ferre, Frank Hoelzner, Rebecca Leung, Pamela Lissajoux, Rasa Skuodiene, Algimantas Skuodis et Anthony Doule (videoman)

PODIUMS TALLARD 3

Palmarès des championnats de France et photos des vainqueurs pour les disciplines de la PA/Voltige et du handifly indoor. La cérémonie de clôture s'est déroulée le samedi 16 septembre à Skydive Center. Photos Équipe de France PAV, Ang'elles


PA PAR ÉQUIPE
1 - PTB Hommes
Sylvain Ferroni, Francois Barriot, Raymond Laffaille, Alexandre Ferroni
2- Aixpress
Mathieu Guinde, Léocadie Ollivier de Pury, Thomas Jeannerot, Nathan Poupeau Avallart, Edouard Bittighoffer
3 - 3RMAT
Flavien Morel, Costel Diaconu, Edouard Fournet, Jeremy Regimbart

PA INDIVIDUEL HOMME
1 - Mathieu Guinde
2 - Sylvain Ferroni
3 - Alexandre Ferroni

PA INDIVIDUEL FEMME
1 - Léocadie Ollivier de Pury
2 - Pascale Dumarcet
3 - Deborah Ferrand

PA INDIVIDUEL JUNIOR
1 - Sathan Mahinda
2 - Pierre Asteix
3 - Edouard Bittighoffer

PA INDIVIDUEL VÉTÉRAN
1 - Jean Yves Bouillaud
2 - Costel Diaconu
3 - Pascale Dumarcet

VOLTIGE HOMME
1 - Thomas Jeannerot
2 - Mathieu Guinde
3 - Alexandre Ferroni

VOLTIGE FEMME
1 - Léocadie Ollivier de Pury
2 - Deborah Ferrand
3 - Stephanie Texier

COMBINÉ PA/Voltige HOMME
1 - Mathieu Guinde
2 - Thomas Jeannerot
3 - Sylvain Ferroni

COMBINÉ PA/Voltige FEMME
1 - Léocadie Ollivier de Pury
2 - Deborah Ferrand
3 - Pascale Dumarcet

CHALLENGE HANDIFLY 2023 TALLARD
1 - Loïc Thomazet (France)
2 - Andrea Pacini (Italie)
3 - Cyril Moré (France)

 

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